Les Sylphides Ringtones

[Intro] Déchaîne les enfers [Couplet 1] Aucun diplôme valable, à ceux qui s'sont faits tout seul Dans les rues de leurs villes j'passe le salam Habitués au haram, ils ne se rappellent plus de leurs crimes Fuck les victimes, ils ne se rappellent plus de leurs cris Leurs valeurs ne s'achètent pas, ils ne se rappellent plus de leurs prix Dans le 92, Hauts-de-Seine, beaucoup de lers-dea On a la meilleure camelote mon pote, à ce que l'on dit Le rejet, le mépris des colonies, c'est ce que l'on vit Ça laisse un goût amer, je n'oublierai jamais Regarde-nous de travers et on te nique ta mère Violents et vulgaires, nique sa mère J'ai rien vu, rien entendu sur la vie de ma mère Météore j'fais des cratères, Dakar dans les artères Interdit aux bâtards, sur les traces de Shawn Carter Paire de Reebok Pump, mousqueton, blouson Starter Jeune délinquant, RER C j'monte sur Châtelet Jugés pour des faits graves, moi et mes s'habs on est més-cra On les brise, on les brûle, on les terrorise, on les fume, on les écrase Et les vrais négros le savent, concerts à guichets fermés sur bateau d'esclave Faut bien que vous compreniez J'avance rien à foutre, j'ai la tête pleine de billets Canon scié pour les numéros 1, fuyez, fuyez Les derniers seront les premiers

Si Madame se mouillait Dans la nuit En rêvant de son homme Alors elle s'enroulait Dans les draps Délestée de son sommeil. Dans les heures pales du matin Elle espérait ses formes Comme il était allé pêcher Sur la mer... Les amants le font de coeur Parce que l'union fait la force Et leurs traits s'unifieront Jusqu'à se ressembler. Pour le pire et le meilleur Jusqu'à y crever leurs forces Ils marchent sans sourciller D'un pas irrégulier Monsieur se glissait Dans la nuit Pour aller chercher des hommes Des types langoureux Sur le port où les marins fument Et dégorgent leur amour... Les amants le font de coeur Parce que l'union fait la force Et leurs traits s'unifieront Jusqu'à se ressembler Pour le pire et le meilleur Jusqu'à y crever leurs forces Ils marchent sans sourciller D'un pas irrégulier

À cheval sur papa, à califourchon Tu regardes tomber les premières feuilles mortes Bien loin des soucis qui nous creusent le front Quand notre innocence met la clé sous la porte Depuis qu't'es là sais-tu, que mon rire de ti-cul Résonne à nouveau quecq'part au fond de moi Comme un vieil ami que je n'attendais plus Qui revient pour faire la fête sous mon toit Dans ma tête en liesse, t'es un jour de l'an Une chaise qui berce mes souvenirs d'enfant Salut Grand-Maman, bonne année grand nez Tant de sentiments depuis que tu es née T'sais plus on vieillit et c'est bien malheureux L'émerveillement perd de ses plumes en chemin Mais toi t'es une braise qui rallume mes yeux Et tout ce qui en moi s'était longtemps éteint Mes éclats de rire dans les tas de feuilles mortes Le mercurochrome sur mes petits genoux L'école où j'ai usé mon fond de culotte La slush puppy et les framboises à un sous Toutes ces images un peu abimées De par mes naufrages et le poids des années Revivent sous ma tuque, dans ma tête de père Comme un temps des sucres après le long hiver Si un jour ton rire, insouciant de ti-cul Est emporté par une larme de fond Que la fatalité ou les "j'aurais donc dû" Te font pour un temps perdre tes illusions Rappelle-toi que tout passe si vite dans la vie Le bon comme la merde que le vent nous apporte Et qu'en chacun de nous se cache bien enfoui Nos éclats de rires dans les feuilles mortes

J'suis trop complexe pour simplifier Mon cerveau tourne comme scientifique Quelques fois j'me suis senti vivre Le bruit d'la foule qui m'faisait vibrer Moi j'fais partie d'ces gens timides Combien d'équipes se sont divisées? Ils sont partout les gens qui trichent J'laisserai personne nous vampiriser Demain, j'partirai vers les démons, les anges Si demain, j'pars, hé-hé, j'connais que trop les enjeux Dеmain, j'partirai vers les démons, les angеs Si demain, j'pars, hé-hé, j'connais que trop les enjeux Demain, j'partirai vers les démons, les anges Si demain, j'pars, hé-hé, j'connais que trop les enjeux Demain, j'partirai vers les démons, les anges Si demain, j'pars, hé-hé, j'connais que trop les enjeux

Ils se cachent sur une île dans la mer des Caraïbes Les pirates, les pirates Ils mangent du requin, ils boivent du rhum et du vin Les pirates, les pirates Ils sont armés jusqu'aux dents, ils se battent en riant Les pirates, les pirates Sur leur peau bronzée, ils se font tatouer Les pirates, les pirates Nous sommes les pirates nous semons la terreur Nous volons les bijoux et les trésors Nous sommes les pirates nous semons la terreur Nous volons les bijoux et les trésors Et tous les bonbons Le capitaine a un crochet et un ami perroquet Les pirates, les pirates Ils font peur aux matelots avec leur affreux drapeau Les pirates, les pirates Nous sommes les pirates nous semons la terreur Nous volons les bijoux et les trésors Nous sommes les pirates nous semons la terreur Nous volons les bijoux et les trésors Et tous les bonbons BANG BANG BOUM BING BING BONG BONG ZIGGY ZIGGY ZIGGY ZIGGY BABYLON DRING DRING POW POW CHICK CHICK WOW WOW MAGASIN COIN COIN MONEY MONEY MONEY MONEY Nous sommes les pirates nous semons la terreur Nous volons les bijoux et les trésors Nous sommes les pirates nous semons la terreur Nous volons les bijoux et les trésors Et tous les bonbons Ils se cachent sur une île dans la mer des Caraïbes...

Comme un fou va jeter à la mer Des bouteilles vides et puis espère Qu'on pourra lire à travers S.O.S. écrit avec de l'air Pour te dire que je me sens seul Je dessine à l'encre vide Un désert Et je cours Je me raccroche à la vie Je me saoule avec le bruit Des corps qui m'entourent Comme des lianes nouées de tresses Sans comprendre la détresse Des mots que j'envoie Difficile d'appeler au secours Quand tant de drames nous oppressent Et les larmes nouées de stress Etouffent un peu plus les cris d'amour De ceux qui sont dans la faiblesse Et dans un dernier espoir Disparaissent Et je cours Je me raccroche à la vie Je me saoule avec le bruit Des corps qui m'entourent Comme des lianes nouées de tresses Sans comprendre la détresse Des mots que j'envoie Tous les cris les S.O.S. Partent dans les airs Dans l'eau laissent une trace Dont les écumes font la beauté Pris dans leur vaisseau de verre Les messages luttent Mais les vagues les ramènent En pierres d'étoile sur les rochers Et j'ai ramassé les bouts de verre J'ai recollé tous les morceaux Tout était clair comme de l'eau Contre le passé y a rien à faire Il faudrait changer les héros Dans un monde où le plus beau Reste à faire Et je cours Je me raccroche à la vie Je me saoule avec le bruit Des corps qui m'entourent Comme des lianes nouées de tresses Sans comprendre la détresse Des mots que j'envoie Tous les cris les S.O.S. Partent dans les airs Dans l'eau laissent une trace Dont les écumes font la beauté Pris dans leur vaisseau de verre Les messages luttent Mais les vagues les ramènent En pierres d'étoiles sur les rochers

Gangbang chez' fascistes J'me start à' mitaine Au milieu des polices Des soldes de fins d'semaine À travers les morons Qui parlent des vraies affaires Les concours de moutons Pis les votes populaires Plonger dans le coma Coudonc j'suis-tu s'à mess? S'un flashback de psychose? J'ai-tu manqué d'caresses? Ou y m'manque-tu des bolts? J'me sens comme un débile Le nez dans son écuelle J'ai l'goût d'péter des vitres De m'crisser su'l BS Plonger dans le coma C'est-tu moé qui est malade? Mésadapté morose? Ou toute ça c'est d'la marde Qui flotte dans la guimauve? J'ai demandé à l'oracle Au milieu des civières Dans l'parking d'l'hôpital Si tout était correct Plonger dans le coma Apprends donc ta leçon L'avenir est dans les chefs V'là tes deux oeufs jambon Pis finis ton assiette Y m'a servi ça frète Des poils dans le sirop À travers les nouvelles Pis l'bulletin d'météo Plonger dans le coma Avec des bouquets de roses Avec des corbeaux R'place ton cathéter Mon maniaque à bottines Si tu m'donnes ton cancer J'va l'flamber aux machines Avec tes militaires Avec tes fanatiques Tes guns pis tes prières J'va prendre une sabbatique Plonger dans le coma À soir ch't'un orignal Qui court s'à 117 En évitant les vans Pis les pièges à tickets Les sabots dans l'asphate Le vent dans les palettes Tu vas trouver ça plate Si tu m'pognes de plein fouet Plonger dans le coma Avec des bouquets de roses Avec des corbeaux

C'est lundi C'est la haine Y'a des rats dans la compagnie Je bois du whisky aux toilettes Avec la belle Nadine Entre deux contrats Avec les Chinois Des capines Des casseroles Et des gazons synthétiques Faudrait qu'je soigne ma vérole Avant qu'je la lui file Entre deux contrats Avec les Chinois Des navettes Des navires Du sarin pour les narines Des tanks Des 747 Des drones Et des locomotives à soldats Bernadette et ma fille Vont tous les matins au gym Font des pompes Et poussent de la fonte Et suent sur de la musique à minables Des abris Des jardins Et des placements qui fleurissent Je fais la fête aux toilettes Avec la belle Nadine Entre deux contrats Avec les Chinois Du crédit Des lapins Et du sang sur les babines Je fais du profit quand ça pète Et saute la belle Nadine Entre deux contrats Avec les Chinois Des gratte-ciels Des empires Du compost à génocides Des bêtes de sexe en laisse Des famines Et des usines à soldats Bernadette et ma fille Sortent en discothèque en ville Et font les folles Et font la fête Et s'amusent sur de la musique à minables Levons les verres Avec les piranhas C'est fini C'est la dèche C'est la banqueroute et la ruine Je cherche ma tête aux toilettes Et les rats me sourient Entre deux contrats Avec les Chinois Pathétique Sels de bain J'écoute La Voix dans ma cuisine Je bois du gros bide en canette Et pleure en pensant à Nadine À Cuba Avec les Chinois Des mégots Des guenilles D'la porn Et d'la Old Milwaukee Pis des bines en conserve Du thon et des sardines Du Dollorama Bernadette et ma fille Font du ski à Chamonix Avec des chefs de compagnies M'envoient des selfies Et me traitent de minable Levons les verres Avec les piranhas

Nous voilà, les yeux dans les yeux pour un ultime cœur à cœur. On n'en est là, à force de se faire casser la voix à grand coup de peur. Mais même si, le sol entre nous s'effrite, mais même si, l'histoire avant nous divise. On nous appelle les inséparables, on nous appelle les inséparables, ensemble, ensemble. Sinon la mer nous jette sur le sable Nous a dit, à chacun les siens trouvé vos couleurs et porté les biens. Mais ici, on est tous l'autre mais l'autre c'est qui? Regardez nous bien Mais même si, le sol entre nous s'effrite, mais même si, l'histoire avant nous divise. On nous appelle les inséparables, on nous appelle les inséparables, ensemble, ensemble. Sinon la mer nous jette sur le sable On dira ce qu'on voudra, demain ne nous donne pas le choix. Les temps ont biens changés qu'on le veuille ou pas (qu'on le veuille ou pas) Dans ce monde on nous appelle les inséparables, les inséparables Ensemble, ensemble. Sinon la mer nous jette sur le sable On nous appelle les inséparables, on nous appelle les inséparable, ensemble, ensemble Sinon la mer nous jette sur le sable. On nous appelle les inséparables, on nous appelle les inséparable, ensemble, ensemble Sinon la mer nous jette sur le sable.

Ah la, la, la, la, la, la, la, la, la Ah la, la, la, la, la, la, la, la, la Ah la, la, la, la, la, la, la, la, la Ah la, la, la, la, la, la, la, la, la Ah la, la, la, la, la, la, la, la, la (Ah la, la, la, la, la, la, la, la, la) Ah la, la, la, la, la, la, la, la, la Famoso como capo Gonzalo por nunca ir de malo Famoso como el capo Carlo, moviemiento en Montecarlo Viviéndome sin hablarlo, viviendo como Juan Palomo Si tú te lo guisas te lo comes, por eso a veces no como Porque aquí muchos se lo guizan, pero eso lo hacen con prisa Con el M.D.L.R se pisa y no se escucha la brisa Venir rápido a la lisa, discoteca o en un piso Te buscamos y te piso, te secuestra el mestizo Y se cobra y se calla o se guerrea la batalla A los tuyos no se falla, hay que siempre estar a la talla Como si acabas en la playa, como si nadas en piscina Como si saltas una valla, aquí se coge disciplina Hablan pero na', na', na', na' Parece que esto les duele Sonando de la nada, famosos y la tele Hablan pero na', na', na', na' Parece que esto les duele Sonando de la nada, famosos y la tele Y vigila la vecina, que si llama al vecino Y verás la que se avecina, como lo' azules vino Y vigila la vecina, que si llama al vecino Y verás la que se avecina, como azules vino Ah la la la la la y cuidado si vienen los piccolos Aquí se quedan solos y solos, solos, solos Ah la la la la la, cuidado si el chivato te aseñala O el de azul te cala, te cala, cala, cala Eh le le le le, corriendo de los pelele' Azules no me huelen, no huelen, huelen, huelen Ah la la la la, chivatos te aseñalan Ah la la la la, cuidao' con los piccolos Hablan pero na', na', na', na' Parece que esto les duele Sonando de la nada, famoso sin la tele Hablan pero na', na', na', na' Parece que esto les duele Sonando de la nada, famoso sin la tele Ah la la la la la Cuidao' si ya vienen los piccolos (La la la la) Aquí se quedan solos, y solos, solos, solos (La la la la) Ah la la la la la Cuidao' si el chivato te aseñala (La la la la) O el azul te cala, te cala, cala, cala (La la la la) Eh le le le le le Corriendo de los pelele' (La la la la) Azules no me huelen, y huelen, huelen, huelen (La la la la) Ah la la la la la Ah la la la la la Ah la la la la la Ah la la la la la Hablan pero na', na', na', na' Parece que esto les duele Sonando de la nada, famosos y la tele Hablan pero na', na', na', na' Parece que esto les duele Sonando de la nada, famosos y la tele (M.D.L.R, M.D.L.R) (M.D.L.R, M.D.L.R) (M.D.L.R, M.D.L.R) (M.D.L.R, M.D.L.R)

A bout de nerf, A fond de cale, Elles ont voguées toute la nuit. Elles auront connus les étoiles Au moins une fois dans leurs vie. Elles ne savaient rien de l'amour, Elles ne connaissaient que l'ennui. Des couleurs de leur monde sourd, Elles ne connaissaient que le prix. Elles t'emmèneront au paradis, les demoiselles de loctudy. Elles te mèneront a la folie, Les demoiselles de loctudy. Embarquées pour une croisière Qu'elles n'avaient pas vraiment choisi. Pour quelques soucis a se faire, Jolies demoiselles en sursis. Elles ont découvert aux aurores Le vrai visage de l'ennemi. Elles ne connaisent rien du sort Qui les attend avant midi. Elles t'emmèneront au paradis, Les demoiselles de loctudy. Elles te jouront leurs comédie, Les demoiselles de loctudy. Elles te laisseront aucun répit, Les demoiselles de loctudy. Elles te mèneront a la folie, Les demoiselles de loctudy. Tous a l'heure pour le bal, Ils ne nous reste plus qu'a nous invités pour le bouquet final. Elles t'emmèneront au paradis, Les demoiselles de loctudy. (Elles t'emmèneront au paradis, Les demoiselles de loctudy.) Les plus belles dans tout le pays, Les demoiselles de loctudy. (Les plus belles dans tout le pays, Les demoiselles de loctudy.) Le client crève de jalousie, Et il en rêve toute les nuits. (Elles t'emmèneront au paradis, Les demoiselles de loctudy.) Jusqu'à saint-glen on les maudits, Les demoiselles de loctudy. (Jusqu'à saint-glen on les maudits, Les demoiselles de loctudy.) Elles méritent bien l'euthanasie, Les demoiselles de loctudy. (Elles méritent bien l'euthanasie, Les demoiselles de loctudy.) Elles s'en iront au paradis, Les demoiselles de loctudy. (Elles s'en iront au paradis, Les demoiselles de loctudy.)

AIMEZ-VOUS LES UNS LES AUTRES Un soir dans mon rêve j'ai vu Moïse, Ismaël et Jésus Sur un chemin de Galilée Que je n'ai jamais laissé Ils allaient de maison en maison Ils chantaient la même chanson. Refrain Aimez-vous les uns les autres Aimez-vous les uns les autres Aimez-vous les uns les autres Aimez-vous les uns les autres Aimez-vous les uns les autres Aimez-vous les uns les autres Aimez-vous les uns les autres Aimez-vous Aimez-vous C'était Jésus qui écrivait Moïse qui improvisait C'était la voix de Ismaël Qui montait tout droit vers le ciel L'univers entier traînait Sans savoir d'où cela venait. Refrain Les trois prophètes ont disparu Et moi j'ai retrouvé ma rue La rue de la réalité Les pavés de la vérité Partout les machines grondaient Mais pour moi la ville chantait Refrain (x2)

Valérie s'ennuyait Dans les bras de Nicolas Mais Nicolas, celui-là Ne le savait pas Isabelle a attendu, attendu Mais Patrick n'est jamais reparu, yeah, he hey Les histoires d'a- Les histoires d'am- Les histoires d'amour finissent mal Les histoires d'amour finissent mal en général Les histoires d'amour finissent mal en général Yeah, yeah, yeah Ho, ho Michel aimait Gérard Et Gérard le lui rendait si bien Qu'à la fin ça ne rendait rien Evelyne toute sa vie attendit Que le monsieur en gris lui sourit, yeah, yeah, yeah (Et Gilbert) Gilbert euh, Gilbert partit en voyage Juste au moment de son mariage Han han, et Hector, alors Hector est mort en faisant une fugue Il allait retrouver Gertrude Simone et Tom s'engueulaient Dès que 21 heures sonnaient, yeah Les histoires d'amour finissent mal en général Les histoires d'amour finissent mal en général Les histoires d'amour finissent mal en général Les histoires d'amour finissent mal en général Yeah, yeah, yeah, hey Yeah, yeah, yeah, hey Wahou, hou, hey, yeah, yeah, yeah Yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah Yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah Hoho, yeah, yeah, yeah, yeah, hey He-he-hey, yeah, yeah, yeah, yeah, hey Yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah Yeah, yeah, yeah, he-he-hey Yeah, yeah, yeah, yeah, yeah Yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah Yeah, yeah, yeah

(Daniel Balavoine) Comme un fou va jeter à la mer Des bouteilles vides et puis, espère qu'on pourra lire à travers. SOS écrit avec de l'air Pour te dire que je me sens seule, je dessine, à l'encre vide, un désert. Et je cours, je me raccroche à la vie. Je me soûle avec le bruits des corps qui m'entourent Comme des lianes nouées de tresses Sans comprendre la détresse des mots que j'envoie. Difficile d'appeler au secours Quand tant de drames nous oppressent, et les larmes nouées de stress Etouffent un peu plus les cris d'amour De ceux qui sont dans la faiblesse Et, dans un dernier espoir, disparaissent. Et je cours, je me raccroche à la vie. Je me soûle avec le bruits des corps qui m'entourent Comme des lianes nouées de tresses Sans comprendre la détresse des mots que j'envoie. Tous les cris, les SOS partent dans les airs Dans l'eau, laissent une trace dont les écumes font la beauté. Pris dans leur vaisseau de verre, les messages luttent Mais les vagues les ramènent en pierre d'étoile sur les rochers. Et j'ai ramassé les bouts de verre. J'ai recollé tous les morceaux, tout était clair comme de l'eau. Contre le passé, y'a rien à faire Il faudrait changer les héros dans un monde où le plus beau reste à faire. Et je cours, je me raccroche à la vie. Je me soûle avec le bruits des corps qui m'entourent Comme des lianes nouées de tresses Sans comprendre la détresse des mots que j'envoie. Tous les cris, les SOS partent dans les airs Dans l'eau, laissent une trace dont les écumes font la beauté. Pris dans leur vaisseau de verre, les messages luttent Mais les vagues les ramènent en pierre d'étoile sur les rochers. Tous les cris, les SOS partent dans les airs Dans l'eau, laissent une trace dont les écumes font la beauté. Pris dans leur vaisseau de verre, les messages luttent Mais les vagues les ramènent en pierre d'étoile sur les rochers.

Comme un fou va jeter à la mer Des bouteilles vides et puis espère Qu'on pourra lire à travers S.O.S écrit avec de l'air Pour te dire que je me sens seul Je dessine à l'encre vide un désert Et je cours Je me raccroche à la vie Je me saoule avec le bruit Des corps qui m'entourent Comme des lianes nouées de tresses Sans comprendre la détresse Des mots que j'envoie Difficile d'appeler au secours Quand tant de drames nous oppressent Et les larmes nouées de stress Étouffent un peu plus les cris d'amour De ceux qui sont dans la faiblesse Et dans un dernier espoir disparaissent Et je cours Je me raccroche à la vie Je me saoule avec le bruit Des corps qui m'entourent Comme des lianes nouées de tresses Sans comprendre la détresse Des mots que j'envoie Tous les cris, les S.O.S Partent dans les airs Dans l'eau laissent une trace Dont les écumes font la beauté Pris dans leur vaisseau de verre Les messages luttent Mais les vagues les ramènent En pierres d'étoiles sur les rochers Et j'ai ramassé les bouts de verre J'ai recollé tous les morceaux Tout était clair comme de l'eau Contre le passé y a rien à faire Il faudrait changer les héros Dans un monde où le plus beau Reste à faire Et je cours Je me raccroche à la vie Je me saoule avec le bruit Des corps qui m'entourent Comme des lianes nouées de tresses Sans comprendre la détresse Des mots que j'envoie Tous les cris, les S.O.S Partent dans les airs Dans l'eau, laissent une trace Dont les écumes font la beauté Pris dans leurs vaisseaux de verre Les messages luttent Mais les vagues les ramènent En pierres d'étoile sur les rochers Comme un fou, va jeter à la mer Des bouteilles vides et puis espère Qu'on pourra lire à travers

Comme un fou va jeter à la mer Des bouteilles vides et puis espère Qu'on pourra lire à travers S.O.S. écrit avec de l'air Pour te dire que je me sens seul Je dessine à l'encre vide un désert Et je cours Je me raccroche à la vie Je me saoule avec le bruit Des corps qui m'entourent Comme des lianes nouées de tresses Sans comprendre la détresse Des mots que j'envoie Difficile d'appeler au secours Quand tant de drames nous oppressent Et les larmes nouées de stress Étouffent un peu plus les cris d'amour De ceux qui sont dans la faiblesse Et dans un dernier espoir disparaissent Et je cours Je me raccroche à la vie Je me saoule avec le bruit Des corps qui m'entourent Comme des lianes nouées de tresses Sans comprendre la détresse Des mots que j'envoie Tous les cris les S.O.S. Partent dans les airs Dans l'eau laissent une trace Dont les écumes font la beauté Pris dans leur vaisseau de verre Les messages luttent Mais les vagues les ramènent En pierres d'étoile sur les rochers Et j'ai ramassé les bouts de verre J'ai recollé tous les morceaux Tout était clair comme de l'eau Contre le passé y a rien à faire Il faudrait changer les héros Dans un monde où le plus beau reste à faire Et je cours Je me raccroche à la vie Je me saoule avec le bruit Des corps qui m'entourent Comme des lianes nouées de tresses Sans comprendre la détresse Des mots que j'envoie Tous les cris les S.O.S. Partent dans les airs Dans l'eau laissent une trace Dont les écumes font la beauté Pris dans leur vaisseau de verre Les messages luttent Mais les vagues les ramènent En pierres d'étoiles sur les rochers Tous les cris les S.O.S. Partent dans les airs Dans l'eau laissent une trace Dont les écumes font la beauté Pris dans leur vaisseau de verre Les messages luttent Mais les vagues les ramènent En pierres d'étoiles sur les rochers

Je ne veux pas, je ne veux pas, je ne veux pas de poux Je ne veux pas, je ne veux pas, je ne veux pas de poux Je ne veux pas, je ne veux pas, je ne veux pas de poux Je ne veux pas, je ne veux pas, je ne veux pas de poux REFRAIN (2X): Hey bibittes laissez-moi tranquille Je cherche un shampoing dans toute la ville Il survécut a l'ère de glace Sur tous nos toits il trouve sa place Même s'il n'est jamais bienvenu Il envahit nos cuirs chevelus Je ne veux pas, je ne veux pas, je ne veux pas de poux Je ne veux pas, je ne veux pas, je ne veux pas de poux Je ne veux pas, je ne veux pas, je ne veux pas de poux Je ne veux pas, je ne veux pas, je ne veux pas de poux On n'a qu'à se tromper de chapeau Pour qu'il se glisse sur nos cocos Même si on l'apprécie pas du tout Il se faufile parmi nous Refrain 2x Hey bibittes laissez-moi tranquille Je cherche un shampoing dans toute la ville J'ai tout essayé les produits En lisant bien les instructions Il ne me reste qu'une solution Lui chanter une incantation Je ne veux pas, je ne veux pas, je ne veux pas de poux Je ne veux pas, je ne veux pas, je ne veux pas de poux Je ne veux pas, je ne veux pas, je ne veux pas de poux Je ne veux pas, je ne veux pas, je ne veux pas de poux Je ne veux pas, je ne veux pas, je ne veux pas de poux Je ne veux pas, je ne veux pas, je ne veux pas de poux Je ne veux pas, je ne veux pas, je ne veux pas de poux Je ne veux pas, je ne veux pas, je ne veux pas de poux Hey bibittes! Hey bibittes!

Non non, non non non Non non, non non non Les marins de notre ville Ne sont pas des ignorants Les marins de notre ville Ne sont pas des ignorants Ils ont fait faire un navire Pour aller dans le levant Non non non, n'ai point de maîtresse Passe mon temps fort joliment Non non non, n'ai point de maîtresse Passe mon temps fort joliment Le navire était d'ivoire Et les avirons d'argent Le navire était d'ivoire Et les avirons d'argent L'équipage qui le monte C'est toutes jeunes filles de quinze ans Non non non, n'ai point de maîtresse Passe mon temps fort joliment Non non non, n'ai point de maîtresse Passe mon temps fort joliment L'capitaine qui le guide C'est le roi des bons enfants L'capitaine qui le guide C'est le roi des Bons-Enfants Il fit monter la plus jeune Pour mettre la voile au vent Non non non, n'ai point de maîtresse Passe mon temps fort joliment Non non non, n'ai point de maîtresse Passe mon temps fort joliment Quand elle fut sur la hune Elle pleura amèrement Quand elle fut sur la hune Elle pleura amèrement Regrettez-vous votre père, votre mère Tous vos parents? Non non non, n'ai point de maîtresse Passe mon temps fort joliment Non non non, n'ai point de maîtresse Passe mon temps fort joliment Je regrette ni mon père Ni ma mère, ni mes parents Je regrette ni mon père Ni ma mère, ni mes parents Je regrette mon coeur volage Qu'est parti la voile au vent Non non non, n'ai point de maîtresse Passe mon temps fort joliment Non non non, n'ai point de maîtresse Passe mon temps fort joliment Il est parti vent arrière Il reviendra vent devant Il est parti vent arrière Il reviendra vent devant Il reviendra mouiller l'ancre Dans la rade des Bons-Enfants Non non non, n'ai point de maîtresse Passe mon temps fort joliment Non non non, n'ai point de maîtresse Passe mon temps fort joliment

Moi je n'ai plus le temps Je dis, je ne gère plus les gens D'abord je suis dans les bruits Après le bip laisse seulement Moi je n'ai plus le temps Je dis, je ne gère plus les gens D'abord je suis dans les bruits Après le bip laisse seulement (Yema) Quand j'étais dans mes palabres pourquoi t'étais pas là? Quand j'étais dans les palabres pourquoi t'étais pas là? Ils disent du mal de moi, quand ils sont avec toi Mais feront pareil de toi, seulement quand tu n'es pas là ah-ah-ah Hum-hum, hum-hum Hum-hum, hum-hum Hum-hum, hum-hum Seulement quand tu n'es pas là ah-ah-ah Hum-hum, hum-hum Hum-hum, hum-hum Hum-hum, hum-hum Seulement quand tu n'es pas là Elle m'a mentit, elle n'est pas si gentille Mola moi quoi dedans Elle veut que je nakam, na pula tatan Y a pas l'amour dedans Ça veut me parler du passé (oh no) Pas la peine de ressasser Trop occupé pas le temps d'y penser Faut que j'aille de l'avant oh-ah Quand j'étais dans mes palabres pourquoi t'étais pas là? (Pourquoi tu n'étais pas là?) Quand j'étais dans les palabres pourquoi t'étais pas là? (Pourquoi tu n'étais pas là?) Ils disent du mal de moi quand ils sont avec toi Mais feront pareil de toi seulement quand tu n'es pas là ah-ah-ah Hum-hum, hum-hum Hum-hum, hum-hum Hum-hum, hum-hum Seulement quand tu n'es pas là ah-ah-ah Hum-hum, hum-hum Hum-hum, hum-hum Hum-hum, hum-hum Seulement quand tu n'es pas là Y a pas l'amour dedans non, non Y a pas l'amour dedans Y a pas l'amour dedans non, non Y a pas l'amour dedans Y a pas l'amour dedans non, non Y a pas l'amour dedans Oh-oh-oh Il m'arrache le tchoko puis demande la photo Y a pas l'amour dedans Elle veut cent mille pour le taxi Y a pas l'amour dedans Elle veut me parler du passé Pas la peine de ressasser Elle refuse d'oublier Laisse-moi te rappeler que Hum-hum, hum-hum Hum-hum, hum-hum Hum-hum, hum-hum Seulement quand tu n'es pas là ah-ah-ah Hum-hum, hum-hum Hum-hum, hum-hum Hum-hum, hum-hum Seulement quand tu n'es pas là Moi je n'ai plus le temps Je dis, je ne gère plus les gens D'abord je suis dans les bruits Après le bip laisse seulement Moi je n'ai plus le temps Je dis, je ne gère plus les gens D'abord je suis dans les bruits Après le bip laisse seulement Hum-hum, hum-hum Hum-hum, hum-hum Hum-hum, hum-hum Seulement quand tu n'es pas là Hum-hum, hum-hum Hum-hum, hum-hum Hum-hum, hum-hum Seulement quand tu n'es pas là ah-ah-ah

Dans une maison close, on les retrouve chacun dans leur chambre comme des fauves Un secrétaire d'État, une eurasienne, les cosaques attaquent Natacha Le vice-consul préfère les coups de fouet, une bûddha affaire qui va éclater Mais qui a fait tuer Léon Trotsky Les yankees s'amusent à Varsovie Elle en veut aux tzars Et 1, et 3, et 4 au placard Un 5 à 7 en haleine pour mémoire Ouh wah, ouh wah, ouh wah, oh la la Et Che, et Che, et Che Guevara "Et caetera" Les tyrans et leurs femmes ne sortent plus sans un garde du corps qui témoigne Les tzars ont l'habitude des marées noires et la solitude d'un guépard Louis la Voyelle préfère les bottes en cuir, ça lui rappelle quelquefois son empire Et aussi l'ambassadeur du Japon Et ses mauvaises fréquentations La Révolution Et 1, et 3, et 4 au placard Un 5 à 7 en haleine pour mémoire Mais qu'ils nous foutent la paix Mais qu'ils nous foutent la paix pour toujours, pour toujours Le vice-consul préfère les coups de fouet, une bûddha affaire qui va éclater Bande à part ils ont fait des pays maudits où même les chats ne sont plus polis Ils ont tous la peur d'une révolution Ou alors d'un camp de rééducation Une révolution Des révolutions Une étoile rouge apparaît dans le train, c'est la chinoise qui sourit pour mémoire Elle a pris les armes face à son déclin Elle en veut aux tzars Et 1, et 3, et 4 au placard Un 5 à 7 en haleine pour mémoire Ouh wah, ouh wah, ouh wah, oh la la Et Che, et Che, et Che Guevara Mais qu'ils nous foutent la paix Mais qu'ils nous foutent la paix pour toujours Et bons baisers de partout Et bons baisers de partout, de partout De partout

Hummm, hum-hum Hummm Hummm, hum-hum Hummm Regarde là où tu m'as blessé Et tu sauras pourquoi t'as mal Tu peux pas changer le passé Alors, tu préfères que je m'en aille, non non Noyé dans quelque parcours Des larmes qui finissent en flaques Passé minuit O'clock Le chagrin est le même Oui, j'ai le cœur opaque Tu m'attaques et je me braque Je fais pas de vague, je t'aime au black Pourtant, ça te gêne Ce n'est pas étrangé Quand nos peaux se mélangent Un peu d'Adam, un peu d'Awa Mi-démon mi-ange Un jour, on sera quitte Et j'aurai ce que je mérite Parmi elfes et hobbits À trop chercher l'erreur, ont fini par la trouver Non, c'est pas ce qui te fait peur qui fait de toi qui tu es Si c'est mieux ailleurs, j'irai là-bas me poser Loin des yeux, loin du cœur, est-ce que ça va t'apaiser? Si j'avais les mots, oh-oh-oh Les mots, les mots, (les mots, les mots) Pour soigner tes maux, oh-oh-oh Tes maux, tes maux J'ai aimé dans la tempête J'ai chassé des comètes Ma haine est obsolète Je ne me suis trompé Tu croyais me connaître Mais j'ai vécu sans être Donc, je fais la fête Pour pas y penser Changer Esclave de ma douleur, je me parle comme Malcom X (comme Malcom X) Mais si je brise ses chaînes, mon cœur renaît sous X À trop chercher l'erreur, on finit par la trouver Non, c'est pas ce qui te fait peur qui fait de toi qui tu es Si c'est mieux ailleurs, j'irai là-bas me poser Loin des yeux, loin du cœur, est-ce que ça va t'apaiser? Si j'avais les mots, oh-oh-oh Les mots, les mots, (les mots, les mots) Pour soigner tes maux, oh-oh-oh Tes maux, tes maux, oh-oh Welcome dans la choji Regarde là où tu m'as blessé Et tu sauras pourquoi t'as mal Tu peux pas changer le passé Alors tu préfères que je m'en aille, non non

Ces gens là ont de l'humour Ils ont toujours le mot qu'il faut Avec eux pas de détour Ils connaissent tous mes défauts Ces gens là ils ont du coeur Oui, madame, si vous saviez combien Ils ont essuyé mes pleurs Et enterré mes chagrins C'est la vie qui veut ça Le destin, madame, je ne vous mens pas C'est la vie qui veut ça Les amis, madame, on ne les choisit pas Ces gens là ils parlent fort Et n'ont pas peur de se fâcher Ni de dire qu'ils ont eu tort Pour se réconcilier Ces gens là ils ont compris Oui, madame, ils ont compris Que pour vivre cette vie Il faut garder ses amis C'est la vie qui veut ça Le destin, madame, je ne vous mens pas C'est la vie qui veut ça Les amis, madame, on ne les choisit pas Comme on aime se retrouver Et se dire que rien n'a changé Que ni les mois ni les années Que, non, rien n'a compté C'est la vie qui veut ça Les amis, madame, on ne les choisit pas C'est la vie qui veut ça Si vous voulez, madame Je vous fais une place chez moi C'est la vie

Yeah boy J'défile, j'défile, j'défile, j'défile, j'défile, j'défile Mais vous êtes trop les filles J'défile, j'défile, j'défile, j'défile, j'défile, j'défile Mais vous êtes trop les filles Chacune de vous me voient comme le plus banni des salauds, allô T'es la meilleure donc décroche (ohaa) J'ai fait le tour, il n'y a aucune de vous qui me comble 32 et seulement 3 qui accouchent de moi Tu m'aimes mais ça c'est ton dos, moi je voulais juste qu'il se cambre À qui rejeter la faute,vous n'étiez que 2 enfin 2 + 30 T'étais la meilleure je l'admet, tes lèvres plus grosses que celle d'Émilie J'étais ton élue, oui je le sais Sèche-moi tes larmes que j'te déshabille J'défile, j'défile, j'défile, j'défile, j'défile, j'défile Mais vous êtes trop les filles J'défile, j'défile, j'défile, j'défile, j'défile, j'défile Mais vous êtes trop les filles Mommy m'a dit "Bébé quand tu aimes faut pas trop compter" J'l'a remercie et je suis pas si mauvais je n'ai fait que l'écouter Non, non, non Ne m'appeler pas Gaston Surtout prends bien tes cach'tons Je n'veux pas d'une quatrième tête de con, non J'pensais pourtant tout savoir (tout, tout, tout) En avant je n'ai rien pu voir (rien de nous) A mes yeux je t'appartenais (faux, faux, faux) Mais tu n'étais que ma partenaire, hey J'défile, j'défile, j'défile, j'défile, j'défile, j'défile Mais vous êtes trop les filles J'défile, j'défile, j'défile, j'défile, j'défile, j'défile Mais vous êtes trop les filles Devant vous j'ferais le point (Devant vous j'ferais le point) J'ai toujours l'goût de vos seins (en même temps ils étaient miens) Devant chacune de vous j'oserai (Devant chacune de vous j'oserai) Je ne dirais rien J'défile, j'défile mais vous êtes trop les filles Devant vous j'ferais le point (Devant vous j'ferais le point) J'ai toujours l'goût de vos seins (en même temps ils étaient miens) Devant chacune de vous j'oserai (Devant chacune de vous j'oserai) Je ne dirais rien J'défile, j'défile mais vous êtes trop les filles Ho non, non, non Ho non, non, non Vous êtes trop les filles Vous êtes trop les filles Non, non, non Ho non, non, non

Je veux que tu me dises ce que tu veux Que tu me parles avec ton cœur Tes mots sonnent tellement faux Ne me dis plus fait ce que tu veux Tes yeux veulent le contraire Le temps qui passe nous perd Je sais que tu créais des conflits Faire croire que tout est fini Pour un peu d'attention de ma part Mais on se bat pour des sourires Puis on se dira tant pis Mais on s'aime en sursis Je n'ai plus les mots, les mots, les mots Notre amour sonne faux, sonne faux, sonne faux Je n'ai plus les mots, les mots, les mots Notre amour sonne faux, sonne faux, sonne faux Je n'ai plus les mots J'ai fait ce qu'il faut Oublie ton égo Je n'ai plus les mots J'ai fait ce qu'il faut Oublie ton égo Je donnerais même mon cœur sans contre partie Et on dit qu'on s'aime on sait que toute est fini Au diable nos promesse et tout nos souvenirs Les toi sans moi il n'y a plus d'avenir Tu me donnerais ton cœur même sans contre partie Dans les ordis on se pousse en se regardant pourrir Juste pour voir si l'un d'entre nous vas enfin réagir Plus tu veux m'oublier, plus à moi tu penses Je n'ai plus les mots, les mots, les mots Notre amour sonne faux, sonne faux, sonne faux Je n'ai plus les mots, les mots, les mots Notre amour sonne faux, sonne faux, sonne faux Je n'ai plus les mots J'ai fais ce qu'il faut Oublie ton égo Je n'ai plus les mots J'ai fais ce qu'il faut Oublie ton égo Je n'ai plus les mots, les mots, les mots Notre amour sonne faux, sonne faux, sonne faux Je n'ai plus les mots, les mots, les mots Notre amour sonne faux, sonne faux, sonne faux Je n'ai plus les mots, les mots, les mots Notre amour sonne faux, sonne faux, sonne faux Je n'ai plus les mots, les mots, les mots Notre amour sonne faux, sonne faux, sonne faux Je n'ai plus les mots J'ai fais ce qu'il faut Oublie ton égo Je n'ai plus les mots J'ai fais ce qu'il faut Oublie ton égo

(Kozbeatz) Le P, le L, eh Saligaud, dans ton salon comme Damidot Hauts-de-Seine, mais jusqu'à 14 ans j'étais parigot T'as des abonnés cocotte, donc tu crois que j'vais te répondre Mais jeune Polak est dans l'bloc avec Dobby il fait les comptes J'm'habille pour cher, j'suis devenu capricieux Medlar m'a dit "baise les tous", j'crois que j'aurais pas dit mieux En 307 j'avais la cote, alors imagine en Fefe J'fume la beuh de Cali, qui vaut le même prix que d'la CC Disque d'or j'y crois même pas, la vérité c'est chelou Y en a que pour un quart de ce qu'on a, ils ont déjà le froc sur les genoux J'ai jamais fait l'hypocrite, j'ai jamais fui mes problèmes Normalement je devrais pas le dire, mais notre génération s'perd Trop d'acteurs, trop d'mythos, trop de deux-feuilles, Tropico J'suis au tieks, le terrain tourne à 50 mètres du comico C'est la rue, nous on est que ses salariés La preuve on court quand y a le C4 qui arrive Eh, y a que sous she-fla qu'on sait se marrer Et qu'avec des meufs cleans, ouais, qu'on veut se marier Frérot, j'ai vu des trucs de fou, des trucs qui t'empêchent de dormir Des trucs qui t'coupent le souffle, des trucs qui donnent envie d'vomir J'en roule un autre, il faut qu'je zappe Bientôt millionnaire, ouais nique sa grand mère avoir le bac J'suis pas BG ou tis-mé, j't'emmènerais pas à Disney Juste fumer ou tiser dans une rue derrière la cité Va falloir faire les comptes On va s'barrer dès qu'on peut Mais les problèmes sont nombreux Jeune, ambitieux et discret Ça esquive le 17, ça distribue les disquettes Va falloir faire les comptes On va s'barrer dès qu'on peut Mais les problèmes sont nombreux Jeune, ambitieux et discret Ça esquive le 17, ça distribue les disquettes Tu fais la croix, tu fais appel à Dieu J'ai fait la croix, j'coupe la plaquette en deux Pas les mêmes soucis, pas les mêmes clefs d'voiture Pas la même haine, forcément, j'suis jeune et immature Ouais, té-ma ma gueule de rat, personne croyait en moi J'ai passé le brevet deux fois et je l'ai loupé deux fois J'croyais finir au SMIC, au pire finir en semi Aujourd'hui j'fais des sommes, des autographes je signe Eh ouais tout est possible, avec le temps tout se négocie Petit j'pensais qu'à ça, j'voulais mon studio moi aussi Les disques d'or et la tournée ça me faisait trop rêver J'faisais des play-backs quand j'lavais la vaisselle dans l'évier J'en roule un autre, il faut qu'je zappe Bientôt millionnaire, ouais nique sa grand mère avoir le bac J'suis pas BG ou tis-mé, j't'emmènerais pas à Disney Juste fumer ou tiser dans une rue derrière la cité Va falloir faire les comptes On va s'barrer dès qu'on peut Mais les problèmes sont nombreux Jeune, ambitieux et discret Ça esquive le 17, ça distribue les disquettes Va falloir faire les comptes On va s'barrer dès qu'on peut Mais les problèmes sont nombreux Jeune, ambitieux et discret Ça esquive le 17, ça distribue les disquettes

Moi je construis des marionnettes Avec de la ficelle et du papier Elles sont jolies les mignonnettes Je vais, je vais vous les présenter L'une d'entre elles est la plus belle Elle sait bien dire papa maman Quant à son frère il peut prédire Pour demain la pluie ou bien le beau temps Moi je construis des marionnettes Avec de la ficelle et du papier Elles sont jolies les mignonnettes Je vais, je vais vous les présenter Chez nous à chaque instant c'est jour de fête Grâce au petit clown qui nous fait rire Même Alexa cette pauvrette Oublie, oublie, qu'elle a toujours pleuré Moi je construis des marionnettes Avec de la ficelle et du papier Elles sont jolies les mignonnettes Elles vous diront, elles vous diront Que je suis leur ami, que je suis leur ami Que je suis leur ami, leur ami Que je suis leur ami, leur ami Que je suis leur ami, leur ami

(B. Bonvoisin / N. Krief) Au loin je vois des drapeaux en pagaille Autour de moi les gosses tombent sous la mitraille Au loin je vois des drapeaux qui vacillent J'aperçois les marteaux, pas les faucilles Brutes assoiffées dessus me sont tombées Sur le revers de l'uniforme un signe difforme Vagues souvenirs De gens fiers, poings levés, courant dans les rues Tchécoslovaques perdus, Tournés vers l'ouest rien de nouveau A la porte de chez toi réouvre le tombeau La vue de leurs chars te laissera hagard hagard Au loin je vois des drapeaux qui flottent Le long des avenues ces gens chaussés de bottes Au loin je vois des drapeaux qui vacillent J'aperçois les marteaux, pas les faucilles Brutes bien entraînées, propagande guérilla, Qui d'un geste, d'un seul te mettent au pas Idéologie construite sur vos cadavres Ecoutez-les chanter le fusil pointé Ecoutez-les vanter leur système politique Où tu marches dans le rang par la trique et les flics Devinez-les courtois si tu bouges je t'abats Devinez-les féroces quand au napalm ils brûleront vos gosses Au loin je vois des drapeaux en pagaille Autour de moi les gosses et leurs entrailles Au loin je vois des drapeaux qui s'enflamment En hurlant dans la ville courent vos femmes vos âmes Restez donc insouciants, restez donc perplexes? Invitez-les à boire, à manger, à se distraire Assis à table ils parleront des cris qu'on fait taire Ils parleront de la mort et de son pouvoir Ils viennent chez vous pour se satisfaire De vous voir à genoux de tendre la joue Crachez-leur au visage dans l'ultime dans le sauvage Prenez-les dans vos mires visez la tête sans fléchir Au loin faites que je voie jamais de drapeaux Que les gosses continuent à rire à être beaux Autour faites que s'épanouissent les familles Sans le poids d'un marteau ni l'ombre d'une faucille.

Yeah, j'n'en ai rien à péter de ton étiquette dès lors que tu n'as pas d'honneur, d'éthique Ce n'sont pas les titres qui font les hommes, lossa, c'est les hommes qui honorent les titres J'ai pénétré l'cœur d'tous les foyers français sur un piano-voix où j'montais dans les aigus J'me suis pointé où on n'm'attendait plus en m'grattant les couilles, en matant des culs Sois pas vexée si j't'insulte, bitch, car si j't'insulte, ouais, c'est que je t'aime Que serait l'amour sans un peu de haine, rien qu'je la fourre mais est-ce bien le thème Donner son cœur à une tierce personne est la forme de suicide la plus intrigante Mais, avec toi, j'suis comme un poisson dans l'eau, comme un narcotraficante à Alicante J'viens d'Orléans et la famille est grande, s'étend jusqu'au 9-4 via place des Teufs Sale enfoiré, c'que t'as pris pour une trêve, c'est juste le temps qu'j'mets à recharger l'neuf J'suis bien l'un des meilleurs officiants à c'jour Et j'm'en bats les couilles de c'que vous en dites, en vrai Enfoiré, cesse de parler dans ma tête, tu m'casses les couilles comme un lundi d'rentrée Au nom du Père, au nom du stream J'rappe et elle a des pertes au fond du string Solo sur scène mais j'ai l'gang en appui Oui, j'le fais pour le 'seille, y a que les oiseaux qui té-chan gratuit Hey, hey, hey, hey Hey, hey, hey, hey Hey, hey, hey, hey Hey, hey, hey, hey Qui va faire quoi, dis-moi, qui va faire l'poids, oOn trinque à ta mort, fils de pute, on festoie Pas de subli', pas de stories Insta', juste un coup d'fil, tes bourreaux sont chez toi Contrôle de keufs, petit défaut d'assu', voyons, messieurs, doit-on aller au poste Prends ton selfie, on s'éternise pas d'ssus, j'dîne à l'hôtel Costes avec Michael Coste Lossa, je reviens tout droit du futur, là où on ne compte plus l'oseille, on le pèse Comme Rédoine Faïd, j'rêve d'un air plus pur J'aime pas vos gueules et la pollution m'oppresse Fuck faire un boulot que j'déteste pour m'acheter plein d'merdes qui servent à tchi J'ai une tache sur l'crâne comme avait Gorbatchev et la fierté d'un supporter de Fenerbahçe J'suis l'esclave qui crame la raffinerie, porte un re-cui Zilli et un jean Amiri Côté passage dans l'AMG de Oumardinho Samaké, peu y croyaient, alors on l'a fait Pour quelques RT, des FDP lancent des rumeurs et vous vous jetez dedans Fermez vos gueules, je n'ai clashé personne J'connais pas les états civils des épouses des gens Au nom du Père, au nom du stream J'rappe et elle a des pertes au fond du string Solo sur scène mais j'ai l'gang en appui Oui, j'le fais pour le 'seille, y a que les oiseaux qui té-chan gratuit Hey, hey, hey, hey Hey, hey, hey, hey Hey, hey, hey, hey Hey, hey, hey, hey (ku, sku, sku)

Oh punaise, Abdi, on prend d'l'âge Mais hamdoullah entre sport et salât Jeunesse sur l'visage Petit frère respecte les anciens C'est pas une question de hiérarchie ni d'domination C'est les bases de la vie, l'éducation C'est la bonne mentale, khay Pour les vrais de vrais de vrais Petits qui respectent grands re-frés Pas d'orgueil avec frère ainé Ne vise rivalité que frère khéné Le passé nous a tous malmené Leurs matraques nous ont bien laminé Les condés nous ont tous emmenés Mecs de Vitry tous incriminés Ces bâtards de médias m'ont bien terminé Ksos for life j'l'ai bien souligné Même l'amour nous a bien suriné Mes projets vous ont bien sublimé J'suis super connu, j'm'en bats les klaouis De là d'où je viens j'me sens le plus épanoui Avec mes Wolofs, mes Manjaques mes Chaouis À bout portant sur l'périph toute la nuit À plus de 3.20, les radars éblouis J'parle que du passé j'ai passé ma vie Combien j'ai balayé sur l'parvis? J'laisse rien passé plus paro qu'un deur-vi Alcool je bois plus, joint je roule plus Shit et beuh je vends plus 15 piges que'j'chourave plus J'ai joué du revolver, du couteau c'est la rue J'aurais pu te faire mais Dieu l'a pas voulu Affaire judiciaire toujours pas résolu 15 mois de bracelet c'est mieux qu'être en cellule Ça dérange pas grand chose dans l'absolu Homme d'affaire je baise tout rien n'est dissolu Pas d'fumée sans feu gros, le feu ça pollue Amitié gâchée égal principe révolu Parait-il que j'ai fait mon temps J'rachète le game qu'importe le montant (R.O.H.2.F) Les p'tits qu'ont pris un mauvais tournant Dites à vos grands d's'acheter un clignotant Respecte les anciens, respecte les anciens Respecte les anciens, respecte les anciens Respecte les anciens, respecte les anciens Respecte les anciens, respecte les anciens Pas l'temps d'faire la teuf', mon buzz n'est pas du bluff Les nous guettent, une balle dans l'œil de bœuf H.O.U.S n'attire que les bonnes meufs Ex mec de tess' qui n'attirait qu'les keufs' Quelques mots pour nous résumer Étions-nous des malfrats ou des tueurs présumés? Si j'avais pas vu Scarface t'aurais-je allumé? Bien sûr que, oui, 'spèce de p'tit enculé Sortir le calibre m'a pas fait reculer Au lieu d'fermer ma gueule j'ai chahed et hurlé Vas y tire, tire une vraie tête brûlée 44 sous mon nez 9 milli' enrayé Une fois j'ai mis high kick zahma pour désarmer J'ai quand même essayé, moi j'ai pas fais l'armée Les rageux rêvent d'éteindre l'étoile de la jungle On sait quand tu te chies dessus parce que ça schlingue On est pas des saints mais wallah qu'on est simple J'porte la street dans mes tripes comme femme enceinte C'est la loi du plus fort, tant pis pour les faibles J'ai poussé sur l'bitume, enraciné au bled J'suis entre murs de Fresnes et mur de XXX Le portail se referme, bat les ailes du grand aigle Mes sons te collent à la peau comme la lèpre Nique la mère du web et celle de Michel Lebb J'suis fier d'être muslim fier d'être un nègre J'fais buzzer les khels, apprécié dans l'Maghreb De Sosa j'ai le plan, de Tony j'ai le cran J'suis partout ils confondent mon pare-brise et leur écran J'rejette que les zoulettes entre Ponts-de-Sèvres et Sevran Suis ma ligne de conduite, frère, jamais décevant Qu'ils ramassent leurs dent, on ramasse notre cash Nos blazes sur cartes grises, gamos payement cash Me ramollis pas même au dernier étage J'me cache derrière quelqu'un qu'si j'en fais mon otage Parait-il que j'ai fait mon temps J'rachète le game qu'importe le montant (R.O.H.2.F) Les p'tits qu'ont pris un mauvais tournant Dites à vos grands d's'acheter un clignotant Respecte les anciens, respecte les anciens Respecte les anciens, respecte les anciens Respecte les anciens, respecte les anciens Respecte les anciens, respecte les anciens