Palais de glace - Orquestra Ángel D'Agostino & Ángel Vargas

Bats les couilles des balivernes et des batards et des mes-da Trop la lle-da, trop les nerfs, le manque de bifton c'est gue-din Pour la daronne j'veux le palais, décalé, deballé, comme Balo détesté, t'es faya-ya-ya L'amour ça fait que des bang, l'amour ca peut te rendre dingue, sortez moi de cette lère-ga T'aides les gens t'es dans la merde personne ne te tend la main, y'a que la sère-mi qui te fait le sympa Tu vois la galère dans tes yeux t'as même pas la taille Confiant tu n'as pas l'air, t'es là que pour mailler Comme les Mayas, moi je voulais me tailler Quand t'es dans le besoin tout le monde veut que bailler La hass s'étale, je vois que des pétales La miff t'épaule, y'a que des pédales T'as la trentaine mais tu traînes en bas des bat' Combien font que bluffer et combien ne sont qu'des bâtards? Tu fais le mec côté mais on connait ton quota La misère t'as toqué et tu veux le biff de Costa Le mal t'accoste, la gloire te cause pas T'as la poisse à la baraka c'est que le combat Fallait faire ce que t'as promis quand tu té-ma que des tho-mi Tu veux faire le comique mais tu tombes au comi' L'amour c'est le coma, tout d'un coup tu peux vite tomber J'ai des potos mais je ne sais même pas sur qui je peux compter Bats les couilles des balivernes, des batards et des mes-da Trop la lle-da, trop les nerfs, le manque de bifton c'est gue-din Pour la daronne j'veux le palais, décalé, deballé, comme Balo détesté, t'es faya-ya-ya L'amour ça fait que des bang, l'amour ca peut te rendre dingue, sortez moi de cette lère-ga T'aides les gens t'es dans la merde personne ne te tend la main, y'a que la sère-mi qui te fait le sympa Dis-leur poto on n'est pas venu par piston Dealer c'était pas le taff' idéal pour être fiston Par la Fransa tous les jours on est tous pistés J'ai trop peur de l'amour c'est pour ça que je suis distant Disquette de miskine, le destin trop festif Je me suis fait buzzer imcompris comme Mesrine Bouge la tête dis pas que je pose sur du zouk Tu te fais que zouker et tu joues le bazooka La maille mais t'as pas, menotté ratata Culotté bata-tard, y'a beaucoup de banaves Je voulais me tirer des balles mais je veux voir ma mère callée Je veux faire les choses bien mais la hass s'étale Ceux qui me veulent du mal bats les couilles décalé Quand je vais bien y'a toujours le mal qui vient t'égaler Tu t'es fait frapper par l'amour un peu comme un tam-tam Quand j'étais tapi, t'as pas tilté dis-moi où t'étais Bats les couilles des balivernes, des batards et des mes-da Trop la lle-da, trop les nerfs, le manque de bifton c'est gue-din Pour la daronne j'veux le palais, décalé, deballé, comme Balo détesté, t'es faya-ya-ya L'amour ça fait que des bang, l'amour ca peut te rendre dingue, sortez moi de cette lère-ga T'aides les gens t'es dans la merde personne ne te tend la main, y'a que la sère-mi qui te fait le sympa

De tanto y tanto quererla me entrado miedo. Miedo de perderla no puedoeste lejos de darme reposo estoy enamorado y. Estoy celoso mezcla de dulzura y tormento es. Este querer que. Mi alma . Y de tanto y tanto quererla me a entrado. Miedo de no verla más a Dios le pido. Que. Perdone mi egoísmo pero quisiera que sienta ella Lo mismo que cuando este lejos de mi que cuando este lejos de mi sienta un vacío

Mañanita arrabalera, Sin taitas por las veredas Ni pibas en el balcón. Tus faroles apagados Y los guapos retobados En tu viejo callejón. Yo te canto envenenao, Engrupido y amargao Hoy me separo de vos. Adiós, arrabal porteño, Yo fui tu esclavo y tu dueño Y te doy mi último adiós. El baile "Rodríguez Peña" El Mocho y el Cachafaz, De la milonga porteña Que nunca más volverá. Carnavales de mi vida Noches bravas y al final, Los espiantes de las pibas En aquel viejo arrabal. Madrecita, yo fui un reo, Y en tus brazos hoy me veo Lleno de felicidad. Dime, mi buena viejita, Dónde está mi noviecita Que no la puedo olvidar. Hoy yo vuelvo arrepentido, Hecho más hombre y más bueno A la vida del hogar. Perdoname, que tu hijo, Tiene un pensamiento fijo Y nadie lo hará cambiar.

Sufres porque me aleja La fe de un mañana Que busco afanoso Tan sólo por ti. Y es un collar de estrellas Que tibio desgranan Tus ojos hermosos Llorándome así. Sueño de juventud Que muere en tu adiós, Tímida remembranza Que añoraré, Canto de una esperanza Que ambicioné Acariciando tu alma En mi soledad. Mi pobre corazón No sabe pensar, Y al ver que lo alejan de ti Sólo sabe llorar, Sólo sabe gemir, Sangrando al morir En tu adiós... Lírico amor primero, Caricia y tortura, Castigo y dulzura De mi amanecer. Yo acunaré en un canto Tu inmensa ternura Buscando en mi cielo Tu imagen de ayer.