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Bienvenue (Live) - IAM

free ringtone for iPhone & Android phones

@Leia
51
30 Sec
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30
@Victor
1,265
Paris (Paris, Paris) Paris (Paris, Paris) Bienvenu dans les rues de Paris Ici y'en a pour tous les goûts, toutes les envies Certains à qui tout sourit Et d'autres qui dorment par terre ici Entre le Maroc et les Antilles Sur un fond de rythmique Cain-fri On s'fond dans la masse sur les Champs Elysées Les lumières la nuit sont toujours éclairés Ici c'est Paris! C'est Paris Bienvenue à Paris Ici c'est Paris! Bienvenue à Paris Ici c'est Paris! Boulevard de la Villette on fait des emplettes On monte à Montmartre avant on s'tape un Grec Y'a des gens sur les marches et y'a ceux qui les peignent Des pigeons dorés par des miettes de bouteilles Les buveurs de comptoir dans les boites à brancher S'arrêtent à Boulogne dès qu'la lune s'est levée AU d'la du périph' ça trafique, normal Faut bien survivre qui n'a pas la dalle C'est Paris Bienvenue à Paris Ici c'est Paris Bienvenue à Paris Ici c'est Paris C'est Paris Paris Ici c'est Paris L'amour c'est Paris Barbès c'est Paris La mode c'est Paris Denfert c'est Paris La night c'est Paris Paris, Paris Tu paris combien? Tu pourras plus te passer d'elle Ici c'est Paris Bienvenue à Paris Ici c'est Paris Bienvenue à Paris Ici c'est Paris Ici la Paris La nuit c'est Paris Sur les ponts de Paris Ici c'est Paris Ici c'est Paris, Paris Bienvenue à Paris Ici c'est Paris Ici c'est Paris
30
@Keira
6,164
Je t'ai déjà parlé de Bordeaux? (non) Sur les quais on aime appeler les jolies filles Taillées comme des cannelés J'ai vu l'étendue des vignobles à travers le hublot Miroir, miroir d'eau, dis-moi qui est le plus beau J'suis passé en Normandie, j'ai vu les villes et les plages (ah ouais?) Mais pour pas te mentir, j'ai surtout vu des vaches (haha) J'ai vu des lions et des lionnes au cœur rugissant Un Havre de paix quand j'suis passé par Rouen Un arrêt à Lille, c'est vrai que c'est pas la plus belle des villes Mais sur la grand place je me suis comme senti libre Senti p'tit, senti ch'ti dans le décor Les gens étaient plus chaleureux que le temps dehors (c'est vrai) J'suis passé par Lyon et j'ai pas compris tout de suite Quand je disais "bonjour" on me répondait "69 la trik" J'ai traîné place Bellecour avec tous mes zonards On m'a dit qu'à Saint-Etienne y'a que des connards Faut que j'te parle de Marseille Son port, ses ruelles un peu crades Et j'ai même pris l'accent en chantant dans le stade Au milieu de ces grandes gueules moi j'en menais pas large J'ai entendu des cigales mais pas le bruit des kalashs J'suis allé à Saint-Etienne prendre un peu l'air (ouais) On m'a forcé à enfiler un foutu maillot vert (putain) J'ai traîné Rue des Martyrs avec tous mes zonards (et ouais) On m'a dit qu'à Lyon y'a que des connards (mais non) Bienvenue chez moi Que tu viennes d'une grande ville, ou d'un petit village Faut que tu vois ça, ah, ah (ah ah) On a les plus belles filles, les plus beaux paysages Viens faire un tour chez moi Viens faire un tour chez moi Viens faire un tour chez moi À Brest et Rennes, je me suis senti un peu con Quand les gens m'ont dit qu'ils étaient pas Français mais Bretons Des marins au grand cœur, un petit peu trop ivres (ouais) Naviguant sur une mer de cidre Une journée à Paris et Notre-Dame a fait une Seine (ah ouais?) Elle m'a dit que j'étais trop lent et que nos petits accents la gêne Elle est pressante et oppressante Elle est stressante et cruelle Elle est blessante, elle est glaçante mais putain ce qu'elle est belle Je suis allé sur une île, le volcan m'a ouvert ses bras Et l'océan me chuchotait "La Réunion est là" Y'a pas de religion ou de couleur sur la photo Une engueulade c'est aussi rare que de voir un dodo Tu connais pas Montpellier? La plage est tout prêt d'ici On passe toute l'après-midi place de la Comédie On prend le temps, mais viens pas croire qu'on est feignants (non) Les arènes de Nîmes jusqu'aux palmiers de Perpignan J'suis allé à Strasbourg, j'suis revenu avec du kugelhopf sous le coude C'est fou j'ai encore dans la bouche le goût de la choucroute Les charmes des limites de l'hexagone Et j'écris cette phrase avec la plume d'une cigogne Bienvenue chez moi Que tu viennes d'une grande ville, ou d'un petit village Faut que tu vois ça, ah, ah On a les plus belles filles, les plus beaux paysages Viens faire un tour chez moi Viens faire un tour chez moi Viens faire un tour chez moi J'suis allé en Belgique, logique, j'ai fait le plein de frites J'ai cru voir de la bière sortir du Manneken Pis Y'a de la vie quand le carré s'anime J'y suis tellement allé, j'ai l'impression de voir de la famille (une fois) Bah oui À Nantes j'ai commencé un safari géant J'ai croisé des canaris, voler autour d'un éléphant J'ai vu des kickers, des skippers, des kiffeurs Le seul endroit où j'ai croisé des dealers de p'tits beurres J'me suis posé en Suisse calmement Près des cygnes sur les rives du lac Léman J'ai coupé mon Natel pour pas qu'on m'appelle là-bas J'ai abusé sur l'emmental et la montagne de chocolats Première fois en Corse, le choc, la terre, la mer Au début j'ai eu du mal avec le caractère Sur la terrasse, les blagues des vieux m'ont fait rire Je voulais plus partir, plus remonter dans le ferry J'suis né à Toulouse, forcément j'suis pas vraiment honnête Elle a vu mes premiers pas et m'a porté chaque seconde Et tu demanderas à tous ceux qui la connaissent Ils te diront "c'est la plus belle ville du monde" Bienvenue chez moi Que tu viennes d'une grande ville, ou d'un petit village Faut que tu vois ça, ah, ah On a les plus belles filles, les plus beaux paysages Viens faire un tour chez moi Viens faire un tour chez moi Viens faire un tour chez moi Bienvenue chez moi Que tu viennes d'une grande ville, ou d'un petit village Faut que tu vois ça, ah, ah On a les plus belles filles, les plus beaux paysages Viens faire un tour chez moi Viens faire un tour chez moi Viens faire un tour chez moi Tu sais qu'à Nantes y'a un éléphant mais genre il est automatisé Et il avance et tout, genre il bouge dans la ville Qu'est-ce tu dis frère? Non mais j'te jure que c'est vrai T'es sûr? Le truc c'est un éléphant mais genre un robot éléphant Ah ouais? Putain mais tu... C'est un éléphant mais euh... un robot
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@Nerea
537
Bienvenue chez moi Ces quatre murs en plastique Sont peints de papier et de tas de Bic Des tas de feuilles à moitié mortes À moitié bourges ou à moitié fortes Un jour vertes, un jour brunes Noires, jaunes, rouges et un jour plumes D'humeur légère, d'humeur profonde D'humeur amère Bienvenue chez moi D'humeur vénère, d'humeur sainte Mais aussi vraies donc vulgaires À la fois brutes, à la fois pures À la fois laxistes, à la fois dures À la fois basses, à la fois hautes À la fois douce et à la voie rauque À la fois Jazz, à la fois Rock, ou Électro Bienvenue chez moi Bienvenue chez moi Bienvenue chez moi Bienvenue chez moi, chez moi, chez moi Bienvenue chez moi Bienvenue chez moi Bienvenue chez moi Dans mes quatre murs, y'a des tas de choses Peu de livres mais des tas de proses Trop de pensées pour si peu d'écrits Et si peu de pays pour tellement de roses Y'a des sales jaunes, des sales noirs Des sales rouges et des sales blancs Il y a surtout que de gros bâtards devenus rouge-sang Bienvenue chez moi Comme moi, comme toi, comme nous Des hommes-chiens devenus hommes-loups Des femmes-hyènes, voulant être belles Et encore plus superbes à se rendre fous À se rendre folles, à se rendre connes À se vendre bonnes, à faire toutes comme Et ces imbéciles, et bien cours toujours Et c'est ça l'amour Bienvenue chez moi Bienvenue chez moi Bienvenue chez moi Bienvenue chez moi, chez moi, chez moi Bienvenue chez moi Bienvenue chez moi Bienvenue chez moi Bienvenue chez moi Bienvenue chez moi
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@Euan
5,952
L'encre coule, le sang se répand La feuille buvard absorbe l'émotion, sac d'image dans ma mémoire Je parle de ce que mes proches vivent et de ce que Je vois Des mecs coulés par le désespoir qui partent à la dérive Des mecs qui pour 20.000 de shit se déchirent Je parle du quotidien, écoute bien mes phrases font pas rire Rire, sourire, certains l'ont perdu je pense à Momo Qui m'a dit à plus jamais, je ne l'ai revu Tenter le diable pour sortir de la galère, t'as gagné frère Mais c'est toujours la misère pour ce qui pousse derrière Pousse pousser au milieu d'un champs de béton Grandir dans un parking et voir les grands faire rentrer les ronds La pauvreté, ça fait gamberger en deux temps trois mouvements On coupe, on compresse, on découpe, on emballe, on vend A tour de bras, on fait rentrer l'argent du crack Ouais, c'est ça la vie, et parle pas de RMI ici ici ici Ici, le rêve des jeunes c'est la Golf GTI, survet' Tachini Tomber les femmes à l'aise comme many Sur Scarface, je suis comme tout le monde je délire bien Dieu merci, j'ai grandis, je suis plus malin, lui il crève à la fin La fin, la faim, la faim justifie les moyens, 4, 5 coups malsains Et on tient jusqu'à demain, après on verra bien On marche dans l'ombre du malin du soir au matin Tapis dans un coin, couteau à la main, bandit de grand chemin Chemin, chemin, y'en a pas deux pour être un dieu Frapper comme une enclume, pas tomber les yeux, I'envieux en veut Une route pour y entrer deux pour s'en sortir, 3/4 cuir Réussir, s'évanouir, devenir un souvenir Souvenir être si jeune, avoir plein le répertoire Des gars rayés de la carte qu'on efface comme un tableau tchpaou! c'est le Noir Croire en qui, en quoi, les mecs sont tous des mirroirs Vont dans le même sens, veulent s'en mettre plein les tirroirs Tirroir, on y passe notre vie, on y fini avant de connaître l'enfer Sur terre, on construit son paradis Fiction, désillusion trop forte, sors le chichon La réalité tape trop dur, besoin d'évasion Evasion, évasion, effort d'imagination, ici tout est gris Les murs, les esprits, les rats la nuit On veut s'échapper de la prison, une aiguille passe, on passe à l'action Fausse diversion, un jour tu pètes les plombs Les plombs, certains chanceux en ont dans la cervelle D'autres se les envoient pour une poigne de biftons, guerre fraternelle Les armes poussent comme la mauvaise herbe L'image du gangster se propage comme la gangraine sème ses graines Graines, graines, graine de déiinquant qu'espèrez-vous? Tous jeunes On leur apprend que rien ne fait un homme à part les francs Au franc tireur discret au groupe organisé, la racine devient champs Trop grand, impossible a arrêté Arrêté, poisseux au départ, chanceux à la sortie On prend trois mois, le bruit cours, la réputation grandit Les barreaux font plus peur, c'est la routine, vulgaire épine Fine esquisse à l'encre de Chine, figurine qui parfois s'anime S'anime, anime animé d'une furieuse envie de monnaie Le noir tombe, qu'importe le temps qu'il fait, on jette les dés, faut Flamber Perdre et gagner, rentrer avec quelques papiers en plus Ça aidera, personne demandera d'où ils sont tombés Tomber ou pas, pour tout, pour rien on prend le risque, pas grave cousin De toute façon dans les deux cas, on s'en sort bien Vivre comme un chien ou un price, y'a pas photo On fait un choix, fait griller le gigot, brillent les joyaux Joyaux, un rêve, piein ies poches mais la cible est loin, la flèche Ricoche, le diable rajoute une encoche trop moche ies mecs cochent Leur propre case, décoche pour du cash, j'entends les cloches, les coups de Pioche Creuser un trou, c'est trop fastoche Fastoche, facile le blouson du bourgeois docile des mêmes la hantise Et porcelaine dans le pare-brise Tchac! le rasoir sur le sac à main, par ici ies talbins Ça c'est toute la journée, lendemain, après lendemain Lendemain? C'est pas le problème, on vit au jour le jour On n'a pas le temps ou on perd de l'argent, les autres le prennent Demain, c'est loin, on n'est pas pressé, au fur et à mesure On avance en surveillant nos fesses pour parler au futur Futur, le futur ne changera pas grand-chose, les générations prochaines Seront pires que nous, leur vie sera plus morose Notre avenir, c'est la minute d'après le but, anticiper Prévenir avant de se faire clouer Clouer, clouer sur un banc rien d'autre à faire, on boit de la bière On siffle les gazières qui n'ont pas de frère Les murs nous tiennent comme du papier tue-mouches On est là, jamais on s'en sortira, Satan nous tient avec sa fourche Fourche, enfourcher les risques seconde après seconde Chaque occasion est une pierre de plus ajoutée à nos frondes Contre leurs lasers, certains désespèrent, beaucoup touchent terre Les obstinés refusent le combat suicidaire Cidaire, sidérés, les dieux regardent, I'humain se dirigent vers le mauvais Côté de l'éternité d'un pas décidé Préfèreront rôder en bas en haut, on va s'emmerder Y'a qu'ici que les anges vendent la fumée Fumée, encore une bouffée, le voile est tombé La tête sur l'oreiller, la merde un instant estomper Par la fenêtre, un cri fait son entrée, un homme se fait braquer Un enfant se fait serrer, pour une Cartier menotté Menotté, pieds et poings liés par la fatalité Prisonnier du donjon, le destin est le geôlier Le teurf l'arène on a grandit avec les jeux Gladiateur courageux, mais la vie est coriace, on lutte comme on peut Dans les constructions élevées Incompréhension, bandes de gosses soi-disant mal élevés Frictions, excitation, patrouilles de civils Trouille inutile, légendes et mythes débiles Haschich au kilo, poètes armés de stylo Réserves de créativité, hangars, silos Ça file au Bloc 20, pack de Heineken dans les mains Oublier en tirant sur un gros joint Princesses d'Afrique, fille mère, plastique Plein de colle, raclo à la masse lunatique Economie parallèle, équipe dure comme un roc Petits Don qui contrôlent grave leurs spots On pète la Veuve Cliquot, parqués comme à Mexico Horizons cimentés, pickpockets, toxicos Personnes honnêtes ignorées, superflics, Zorros Politiciens et journalistes en visite au zoo Musulmans respectueux, pères de famille humbles Baffles qui blastent la musique de la jungle Entrées dévastées, carcasses de tires éclatées Nuée de gosses qui viennent gratter Lumières oranges qui s'allument, cheminées qui fument Parties de foot improvisées sur le bitume Golf, VR6, pneus qui crissent Silence brisé par les sirènes de police Polos Façonnable, survêtements minables Mères au traits de caractère admirables Chichon bidon, histoires de prison Stupides divisions, amas de tisons Clichés d'Orient, cuisine au piment Jolis noms d'arbres pour des bâtiments dans la forêt de ciment Désert du midi, soleil écrasant Vie la nuit, pendant le mois de Rhamadhan Pas de distraction, se créer un peu d'action Jeu de dés, de contrée, paris d'argent, méchante attraction Rires ininterrompus, arrestations impromptues Maires d'arrondissement corrompus Marcher sur les seringues usagées, rêver de voyager Autoradios en affaire, lot de chaînes arrachées Bougre sans retour, psychopathe sans pitié Meilleurs liens d'amitié qu'un type puisse trouver Génies du sport faisant leurs classes sur les terrains vagues Nouvelles blagues, terribles techniques de drague Individualités qui craquent parce que stressées Personne ne bouge, personne ne sera blessé Vapeur d'éther, d'eau écarlate, d'alcool Fourgon de la Brink's maté comme le pactole C'est pas drôle, le chien mord enfermé dans la cage Bave de rage, les barreaux grimpent au deuxième étage Dealer du hashich, c'est sage si tu veux sortir la femme Si tu plonges, la ferme, pas drame Mais l'école est pas loin, les ennuis non plus Ça commence par des tapes au cul, ça finit par des gardes à vue Regarde la rue, ce qui change? Y'a que les saisons Tu baves du béton, crache du béton, chie du béton Te hats pour du laiton, est^ce que ça rapporte Regrette pas les biftons quand la BAC frappe à la porte Trois couleurs sur les affiches nous traitent comme des bordilles C'est pas Manille OK, mais les cigarettes se torpillent Coupable innocent, ça parle cash, de pour cent Oeii pour oeil, bouche pour dent, c'est stressant Très tôt, c'est déjà la famille dehors, la bande à Kader Va niquer ta mère, la merde au cul, ils parlent déjà de travers Pas facile de parler d'amour, travail à l'usine Les belles gazeiles se brisent l'échine dans les cuisines Les élus ressassent rénovation ça rassure Mais c'est toujours la même merde, derrière la dernière couche De peinture, feu les rêves gisent enterrés dans la cour A douze ans conduire, mourir, finir comme Tupac Shakur Mater les photos, majeur aujourd'hui, poto Pas mal d'amis se sont déjà tués en moto Une fois tu gagnes, mille fois tu perds, le futur c'est un loto Pour ce, je dédie mes textes en qualité d'ex-voto, mec Ici t'es jugé à la réputation forte Manque-toi et tous les jours les bougres pissent sur ta porte C'est le tarif minimum et gaffe Ceux qui pèsent transforment le secteur en oppidum Gelé, i'ambiance s'électrise, y'a plein de places assises Béton figé fait office de froide banquise Les gosses veulent sortir, les "non" tombent comme des massues Les artistes de mon cul, pompent les subventions DSU Tant d'énergie perdue pour des préjugés indus Les décideurs financiers plein de merde dans la vue En attendant, les espoirs foirent, capotent, certains rappent Les pierres partent, les caisses volées dérapent C'est le bordel au Iycée, dans les couloirs on ouvre les extincteurs Le quartier devient le terrain de chasse des inspecteurs Le dos à un oeil car les eaux sont truffées d'écueils Recueille le blé, on joue aux dés dans un sombre cercueil C'est trop, les potos chient sur le profil Roméo Un tchoc de popo, faire ies fils et un bon rodéo La vie est dure, si on veut du rêve Lls mettent du pneu dans le shit et te vendent ça Ramsellef Tu me diras "ça va, c'est pas trop" Mais pour du tcherno, un hamidou quand on n'a rien, c'est chaud Je sais de quoi je parle, moi, le batard J'ai du fêter mes vingt ans avec trois bouteilles de Valstar Le spot bout ce soir qui est le King D'entrée, les murs sont réservés comme des places de parKing Mais qui peut comprendre la mène pleine Qu'un type a bout frappe sec poussé par la haine Et qu'on ne nait pas programmé pour faire un foin Je pense pas à demain, parce que demain c'est loin
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@Lyam
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Beyoncé, IAM, welcome Welcome Bienvenue là où l'fort tue le faible, où la faim tue de fait Où la société t'congratule, et t'accepte une fois la fortune faite Où les dettes cumulent, où l'crédit accule des tas d'foyers Où les hommes en perte d'idéaux Jurent que par les putes dévoyées en vidéo Chaque soir c'est la fête, les salons cossus attirent les fesses Sur les gros caïds, qui arrosent les guéridons de pure cocaïne Ici, les gosses rêvent d'être Pirès, beaucoup partent et peu qui restent Nombreux sont ceux qui dès 13 ans connaissent leur première ivresse Bienvenue là où l'air pollué, par les pots d'échappement, déclenche Allergies en cascade, et taux record d'O3 dans les bronches Douleurs dans les hanches, rien d'plus dangereux qu'la faune humaine Quand ils explosent un fourgon Brinks sans peine à coup d'trinitrotoluène Les vices connus gênent la machine de l'État, les cabinets changent Laissent la merde en état, puis passent les menottes en métal, on en est là Ici 300 blindés font c'qu'ils veulent, font comme s'ils vivent seuls Ramènent tout à leur petite gueule, quand 1000 meurent fauchés dans l'viseur Bienvenue, après le 11 septembre on évoque une autre voie Au silence, dis au revoir L'enculeur d'autre fois dit baiser le monde à haute voix Où les vieux des pays riches fantasment sur les mômes de Bangkok Pourquoi donc mettre à part ces connards en taule Ici on croit moins en Dieu qu'aux fantômes, un hymne sanguinaire On entonne, partout on sent la peur d'un peuple passé au pantone L'hiver mange l'été, et l'printemps parfois tue l'automne Crie plus fort, les grands de c'monde, ont égaré quelque part leur sonotone Bienvenue, mes petits anges Car voici ce monde Welcome to a place Where people lie to your face Just to get it done Welcome to the human race If you ain't got money, you'll pay with pain Welcome to this world of ours If you had the chance would you come back again? 'Cause now you're here, ain't no turning back Got tears in your eyes, monkey on your back We all have a purpose in this world We have to believe that we belong We can't forget where we came from We came from love Bienvenue dans c'truc entre enfer et paradis, tantôt l'un tantôt l'autre Anges et démons s'y disputent le parvis pour enjeu, ceux qui s'y vautrent Où l'on s'occupe de l'horreur seulement lorsqu'elle frappe à nos portes Où la rumeur tue sournoisement, vicieux coup de surin dans l'aorte Où tu bouffes de la merde chaque jour et on te le dit que 20 ans après Parce qu'en fait ils s'en tapent de c'qu'on pense, on l'sait Mais ils le diront jamais Où on est bien trop con pour voir qu'un mec est bon et ce avant qu'il meure Puis on se vante de le connaître achetant ses tableaux, visitant sa demeure Bienvenue dans c'monde où on se dit tous égaux Blague à part, là c'est l'caniveau Là-haut c'est les bureaux mais le mieux c'est au milieu Où on se sait si fragile qu'on prévoit les pièces d'rechange D'ici peu de temps on s'achètera des jambes en famille le dimanche Où tout le monde ne mange pas à sa faim, lieu de conflits sans fin Créer dans le fond pour qu'un seul parvienne à ses fins La misère comme moyen où le supposé mort esclavage sévit encore en divers lieux Tu vois, il y a toujours des grains de poussière vaniteux Qui s'prennent pour des dieux Bienvenue, pas à Gattaca mais presque où seul l'élu évite la presse On parque le reste en attendant que vieillesse se manifeste Où on parle de présélection, d'amélioration, de transformation génétique C'est pas magnifique une armada de super soldats de plomb Où on s'tue pour un bifteck ou un bifton Où on entend le mensonge aveugle, on voit pas l'illusion Envolée la laine du mouton Je t'annonce le sombre, parce que le clair, j'préfèrerais qu'tu le découvres Allez petit, lance-toi, t'inquiète, vas-y fonce, moi, j'te couvre Welcome to a place Where people lie to your face Just to get it done Welcome to the human race If you ain't got money, you'll pay with pain Welcome to this world of ours If you had the chance would you come back again? 'Cause now you're here, ain't no turning back Got tears in your eyes, monkey on your back Bienvenue dans ce monde, welcome to this world Bienvenue dans ce monde, welcome to this world Bienvenue dans ce monde, welcome to this world Bienvenue dans ce monde, welcome to this world
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